Tribune collective pour dénoncer les dérives du transactivisme.
par FINRRAGE-UBINIG
lors de la Conférence internationale de Comilla (Kotbari, Bangladesh), 1989
Il s’agit de repenser la reprise de terres, qu’elles soient urbaines ou rurales, à partir de la cuisine, pour reprendre ici la formule de la féministe marxiste révolutionnaire Silvia Federici pour qui le travail ménager est le point zéro de toute révolution
À l’âge de 12 ans, j’ai commencé à remarquer sur mes cuisses des petites boules de graisse qui s’étalaient sur la chaise quand je m’asseyais. Cette vision était le fruit d’un long apprentissage qui s’était effectué en marge de ma scolarité et ne m’avait demandé aucun effort.
La discussion autour de notre vécu commun de femme et la réappropriation du savoir concernant nos corps sont de puissants moteurs de mobilisation féministe.
L’actualité féministe nord-américaine est marquée par des questionnements internes, notamment quant aux possibilités d’ouverture face à des hommes désireux de s’investir dans cette lutte contre la hiérarchie entre les sexes.
Quelles raisons peuvent mener un homme à se dire proféministe et que peut-il faire pour aider le mouvement féministe ?
D’un côté, une flambée d’adolescentes qui demandent à devenir des garçons. De l’autre, des repentis et repenties de la transition qui alimentent le soupçon: changer de sexe ne serait-il pas un moyen d’échapper à l’homophobie pour certains jeunes? Surtout des filles?
La chanson sans peur (« Cancion sin miedo »), ci-dessus, est un hymne féministe écrit par Vivir Quintana, une magnifique apologie des femmes qui se soulèvent au Mexique, des filles de Sonora aux femmes armées du Chiapas, ainsi qu’un vibrant hommage aux nombreuses victimes de viols et de féminicides.
« Moi je chasse par amour. » dit l'ancien porte-parole de la Fédération nationale de la chasse, sur Europe 1 le 26 octobre 2018...